14/01/2008

Destin...

Moi, ce qu'il en reste...

Je suis retourné, évidé, ouvert. J'ai perdu la parole. En acceptant de me déposer sans rien, je suis devenu un courant d'air porté par vos souffles. J'aurais dû y penser, on ne peut pas être et ne pas être ...