25/05/2009
C'est quelqu'un qui l'a dit...
"L'écart entre l'image visible et la réalité invisible signale l'abîme indicible."
(Je me demandais d'où venait ce dessin... et puis, comme souvent, alors qu'on a décidé de passer à autre chose, un léger chatouillement continue à gratouiller, c'était donc ça, j'avais déjà vu ce drôle d'oiseau, ICI, même! ;-)
23/05/2009
22/05/2009
20/05/2009
17/05/2009
En vrac...
2) Je n'aime pas développer, tout développement m'éloigne de l'inconnu.
3) La raison est subtile, elle prend le masque de la vérité pour nous séduire mais elle est aveugle, sourde et muette.
4) On n’est jamais à l’abri sous un paradoxe.
5) L'homme sans ses constructions n'est qu'un animal sans nom.
6) C'est le déplacement des points d'appui qui donne l'illusion du changement...
7) Les objets contiennent notre vérité et déterminent notre destin.
8) Nous avons pris la mauvaise habitude de ramper dans les ornières.
9) Le réel me retient par la manche et m’occupe à tout va.
10) Trop fatigué après cette très longue journée pour tenir debout, même assis.
11) Le réel ne donne rien à voir. Ce que nous voyons n'est que le fruit de notre imagination, poussée par les mots qui l'encombrent.
12) Noir clair et noir foncé sont mes couleurs préférées.
13) Je parle pour faire du bruit, le sens m'échappe, toujours...
14) Le temps, c'est l'écriture du monde vu par les hommes, une ombre en forme de ride, portée par le réel.
15) Notre présence, en général, est plutôt une expérience improbable.
16) Nous sommes de passage, passants plus ou moins pressés par le temps...
17) Il reste toujours un mot, l'être est inépuisable, il gargouille sans fin...
18) ... n'être qu'onde et devenir lumière.
Bon, ben, voilà.
(collage des morceaux écrits récemment, ici où là, sous votre influence...;-)
14/05/2009
12/05/2009
zzz...
08/05/2009
07/05/2009
Passons
Je m’amuse, bricole des mobiles inutiles dont j’espère qu’ils vous arracheront un sourire, le même que celui que j’affiche quand j’appuie sur “publier”. Je n’ai pas d’intention, de projet, de marchandise à vendre, de droits à faire valoir, d’espoirs secrets.
Je me réjouis de votre participation, de vos mots qui enchantent et donnent de l’esprit. C’est cette forme, première, de l’amitié, que je cultive dans ce petit jardin.
J’essaie de ne pas appuyer, de rester dégagé.
Je ne sais rien, n’ai rien à démontrer, et, tout bien considéré, je préfère, à la colère imbécile, la douceur des frais matins printaniers, la légèreté de l’être, alors j’efface l’absurde affront et ne réponds rien. Parfait. Voilà.
05/05/2009
02/05/2009
Oh Oh
C’est par hasard que je me suis mis à reparler de ça. Sur le chemin, on papotait, on se racontait, j’ai parlé de peinture, de ma liberté retrouvée après l’avoir abandonnée. Et puis, hier, en courant, j’ai trouvé que ça ne collait pas. Bien sûr, tout paraissait simple, les mots avaient clos le sujet mais une ombre persistait, un ricanement presque imperceptible me triturait. Je laissais l’esprit vagabonder, passer d’une idée à l’autre, concentré sur les cailloux qui encombraient le sentier, éviter la chute, garder l’équilibre... quand, malgré moi, j’ai souri, ça venait de faire le lien. C’était donc ça, rien n'avait changé...
décembre 1999
avril 2009
décembre 1999
avril 2009
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