22/06/2008

Suite impromptue...

"Tout ça pour rien", à entendre comme "Tout ça pour ça, et rien d'autre"




(Avant)
On commence toujours par expliquer nouveau phénomène avec de vieilles idées, celles que le temps a accumulées dans notre boîte à outils. Pour se débrouiller avec l’inattendu, l’inexplicable, on préfère bricoler un vague mécanisme, une extension bancale plutôt que d’accepter de lâcher prise et se retrouver en terre inconnue, sans repère ni mode d’emploi. Ce n’est que quand le phénomène insiste et résiste qu’on se risque à sortir de ce chez soi....

(Au début)
Quand on arrive la première fois ici, on agit avec des réflexes conditionnés ailleurs, on se déplace sur des rythmes déjà connus, journal intime, correspondance, billet d’humeur, communication, bavardage, témoignage, récit, essai, poèmes...

On n’imagine pas un seul instant qu’on entre dans un autre monde, situé entre le rêve et la réalité.

(à suivre, peut-être...)